Les fenêtres sont des points faibles dans l’isolation d’une construction. Et cela est autant vrai dans un bâtiment ancien non rénové aux fenêtres à simple vitrage, que dans un bâtiment moderne aux fenêtres à double ou triple-vitrage, même si elles laissent perdre 5 à 6 fois moins d’énergie. (Faites le test dès que vous avez finis de lire cet article !)
Leur température baisse d’autant plus bas et d’autant plus vite lorsqu’elles sont vétustes.
En France (à l’instar des Etats-Unis par exemple), la plupart des logements sont équipés de volets battants ou roulants, en bois, en PVC, ou encore en aluminium… Le choix est large.
Outre le fait de protéger nos petits yeux endormis au réveil et d’occulter les lumières la nuit tombée, ils jouent aujourd’hui un rôle presque essentiel dans la consommation énergétique de votre logement.
Cela s’appelle « l’effet de serre ». Oui, oui, comme pour faire pousser des tomates en plein hiver, mais ça, c’est un autre sujet.
En effet, les lumières visibles et invisibles du rayonnement solaire traversent facilement la vitre, mais la chaleur de la pièce, elle, ressort plus difficilement.
Le bénéfice solaire est évidemment plus important si les fenêtres sont orientées au sud. Mais une partie du rayonnement solaire parvient de manière diffuse de tous côtés, et même une fenêtre exposée au nord peut en recevoir.
En revanche, si la journée est sans soleil, froide et venteuse, il vaut alors mieux garder ses stores baissés pour ne pas perdre l’énergie de chauffage ; surtout si les vitrages sont anciens.
Dès le matin, ouvrir les volets et ouvrir les rideaux laissent pénétrer le soleil dans l’ensemble de la pièce.
Fermez-les à la nuit tombante, pour ne pas subir l’inconfort de vitres trop froides et perdre moins de chaleur. Votre porte-monnaie vous dira merci !
Et si on vous disait que vous pouviez appliquer tous ses conseils au fond de votre canapé, depuis votre téléphone, vous nous croyez ?
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